Bien qu'il n'ait que soixante ans, Louis Andriessen a été intensivement impliqué dans la mort au cours de la dernière décennie. Cela a abouti à la représentation en direct de "Trilogy of the Last Day" par l'ensemble Asko et l'ensemble Schönberg sous la direction de Reinbert de Leeuw. Une caractéristique frappante est l'utilisation de voix d'enfants, dont l'effet est plus «unheimlich»
… qu'adorable. Dans la première partie, par exemple, un garçon soprano chante le texte folklorique pas si plaisant du XIXe siècle "Een juffrouw a rencontré sa femme de chambre (le crâne misérable)", qui parle d'un crâne trouvé dans un ossuaire qui peut parler. Dans la deuxième partie, "Tao", un rôle important est réservé au pianiste Tomoko Mukaihama, qui joue également du koto. Cette partie lui était dédiée. Soit dit en passant, il ne reste guère de l'atmosphère contemplative de cette seconde partie de la troisième partie. Dans "Danse sur les os" (sur le modèle de la "Danse macabre" de Saint-Saëns), la romance du cimetière de la première partie revient. Avec cette danse de la mort, la trilogie n'est pas très heureusement terminée, dans laquelle le chœur d'enfants De Kickers (et ils sonnent comme on les appelle) chante un texte plutôt plastique, écrit par Andriessen lui-même, avec un mépris joyeux pour la mort. Et nous pouvons le faire avec ça. (HJ) _ dans lequel le chœur d'enfants De Kickers (et ils sonnent comme on les appelle) chante avec un joyeux mépris de la mort un texte plutôt plastique, écrit par Andriessen lui-même. Et nous pouvons le faire avec ça. (HJ) _ dans lequel le chœur d'enfants De Kickers (et ils sonnent comme on les appelle) chante avec un joyeux mépris de la mort un texte plutôt plastique, écrit par Andriessen lui-même. Et nous pouvons le faire avec ça. (HJ) _plus