Matthijs Vermeulen (1865-1951) fut si brusque à cause de ses déclarations acerbes que le chef d'orchestre Mengelberg refusa même de jeter un coup d'œil sur les partitions de Vermeulen. De plus, la musique exubérante de Vermeulen était si difficile à jouer qu'elle aboutissait rarement à une (bonne) performance. Cela a créé la situation étrange que le transverse Vermeulen est devenu une
… figure culte pour certains Casse-Noisette, alors qu'en fait personne ne pouvait correctement évaluer si ses scores sauvages étaient pratiquement réalisables. En 1997, l'ancien casse-noisette Jan van Vlijmen, alors directeur du Holland Festival, décide de faire interpréter l'œuvre symphonique de Vermeulen dans son intégralité. De cette manière, on pouvait enfin déterminer si la musique exaltée de Vermeulen valait plus qu'un `` exercice incontrôlable de contrepoint catholique dirigé par le père Dobbelsteen '' (comme l'a dit un autre ancien casse-noisette, Peter Schat). Au cours de cette rétrospective, il est devenu clair que le chef d'orchestre Gennady Rozhdestvensky se sentait très à l'aise dans cette musique fascinante. Comme on peut le voir sur un CD sorti par Chandos avec les Deuxième, Sixième et Septième Symphonies de Vermeulen, jouées par la Residentie Orkest sous la direction de Rozhdestvenzky. (HJ) Comme on peut le voir sur un CD sorti par Chandos avec les Deuxième, Sixième et Septième Symphonies de Vermeulen, jouées par la Residentie Orkest sous la direction de Rozhdestvenzky. (HJ) Comme on peut le voir sur un CD sorti par Chandos avec les Deuxième, Sixième et Septième Symphonies de Vermeulen, jouées par la Residentie Orkest sous la direction de Rozhdestvenzky. (HJ)plus